Parmi les séries animées qui ont dominé le printemps 2020, Tsugumomo s'est élevé comme une étoile filante dans le ciel hentiste. Les artistes du métier ont évidemment sauté sur l'occasion pour décortiquer chaque centimètre carré de cette saga, offrant une version hentai si crade qu'elle pourrait arracher un sourire mème aux plus blasés. La saison 2 vient d'être dévoilée, et elle occupe déjà une place de choix dans le classement des animes à mater après le déconfinement. Pas besoin de vous faire un dessin : c'est un mélange de romance, d'aventure, de surnaturel et d'ecchi si bien dosé qu'il a instantanément capté l'attention de toute la communauté hentiste. Les scènes découpées ici ne sont pas encore au niveau de l'apocalypse nucléaire, mais elles ont de quoi satisfaire les amateurs de sensations fortes. Et croix de bois, ce n'est que le début. Dans 4 ou 5 saisons, Tsugumomo nous expédira peut-être dans des profondeurs si obscènes que l'on oubliera même le nom de Naruto.
Le monde de Tsugumomo pourrait être qualifié de "néant maudit" où Kazuya Kagami, notre héros favori, hérite d'une Obi magique après le suicide de sa mère. Un jour, alors qu'il est pris dans une embuscade démoniaque, une bombe bleue nommée Kiriha surgit pour le sauver. Cette jolie salope décide alors de s'incruster chez lui comme une colocataire perverse, troublant ses habitudes tranquilles. Kazuya se retrouve désormais plongé dans un enfer de combats contre les Amasogi, utilisant les pouvoirs de l'Obi de Kiriha. Son destin l'alignera finalement avec Kukurihime, la déesse protectrice, pour des sessions d'exorcisme si mouvementées qu'on en oubliera le sens du mot "répit". Entre scènes de combat brutales et moments érotiques déchirants, Tsugumomo a trouvé un rythme qui tue.
Kiriha est ce qu'on appelle une "déesse de la salope". Avec ses cheveux bleus électriques, son métrétre quarante bien utilisé et sa chair qui ferait fondre un iceberg, elle incarne la perfection hentiste. Dans l'anime, on ne connaît pas vraiment ses secrets, mais dans la version hentiste, on entre dans les profondeurs de son àge. Exhibitionniste jusqu'au bout des ongles, elle dévoile des scènes si chaudes qu'elles pourraient faire fondre même le plus glacial des fans. Certains clichés restent discrets, mais d'autres flirtent avec l'érotisme le plus agressif. Son potentiel est inépuisable : imaginez ce qu'elle pourrait déployer après quelques saisons supplémentaires.
Le bestiaire de Tsugumomo regorge de salopes secondaires aussi intéressantes que sous-estimées. Ces bombes, même si elles n'ont pas encore leur propre fanbase, sont en train de trouver leur place dans le panthéon hentiste. Avec leur potentiel inexploitable et leur manque d'infos officielles, le mieux reste de mater leur chair dénudée.
Kokuyou nue
Kagami Kanaka nue
Sumeragi Sunao nue
Ne vous laissez pas berner par l'humilité de Tsugumomo. Naruto, One Piece ou Dragon Ball ont tous débuté comme des minables. Aujourd'hui, ils sont des dieux vivants de l'animation. Tsugumomo pourrait suivre le même chemin, surtout en version hentiste. L'histoire est solide, les personnages ont de la chair à gratter, et le potentiel est gigantesque. Alors, les salopes, vous avez déjà mater la saison 1 ? Kiffez-vous la première saison ou vous attendez-vous à la saison 2 comme un junkie à sa dose ?