Quand j'ai mis le pied dans l'univers de Queen's Blade, j'ai littéralement eu une crise de jouissance. Des combattantes musclées et pulpeuses, des guerrières au charme indécent, tout ça enfermé dans un light novel puis un manga... Comment une série pouvait-elle être aussi cochonne sans même être un hentai ? C’était un mystère jusqu’au jour où j’ai découvert la version parodiée. Mec, c’est chaud comme un volcan érectile, et on va s’imbiber la rétine ensemble.
Avant de plonger dans le délire, un peu d’histoire : Queen’s Blade est né entre 2005 et 2008 en s’inspirant d’un concept original. L’idée ? Un roman interactif où le lecteur choisit son aventure en fonction des options. Un format tout nouveau à l’époque, qui a permis de créer un univers riche et dynamique. Le tout a ensuite muté en manga, puis en OAV, en arts books... et finalement en une jungle de dérivés érotiques. La saga est devenue une institution, et sa popularité ne faiblit pas.
L'intrigue du manga est classique mais efficace : un tournoi nommé Queen’s Blade réunit les plus belles guerrières du royaume pour déterminer la reine ultime. Tournoi qui se déroule tous les 4 ans, comme les Jeux Olympiques, mais avec des tenues si courtes qu’on se demande si c’est du sport ou de l’orgie. Des humaines, des démones, des salopes, des vicelardes... toutes aussi bombes les unes que les autres. Et comme si cette merveille de sexualité n’était pas suffisante, certains artistes ont poussé le vice jusqu’à créer des versions hentai... on y va direct ?
Leina, ou Reina, est l’un des piliers de la parodie. Je la trouve pas top dans l’original, mais dans le hentai, c’est une salope endurante. Avec des formes normales mais un appétit sexuel dévastateur, elle adore se faire enculer entre deux scènes de gangbang solo. C’est un mélange de douceur et de salopes, parfait pour les amateurs de gangbang hardcore.
Echidna est le genre de nana qui vous fout la gueule par terre. Avec son cul parfait, ses seins faramineux et son look de serpent, elle incarne le vice incarné. Ses photos hentai sont légendaires : du matage à 100% de testostérone. C’est une salope qui sait comment allumer un mec, et ses scènes de gangbang sont dignes des plus sales fantasmes.
Cattleya, c’est la reine de la taille XXL. Sa poitrine ? Une montagne. Son cul ? Un tsunami. Et sa chatte ? Un volcan en éruption. Cette salope a des formes qui défient la gravité et un appétit sexuel qui pourrait faire pâlir une prostituée. J’aimerais bien la souiller avec mon sperme jusqu’à ce qu’elle crie mon nom.
Risty, la voleuse du désert, c’est une salope au physique de déesse. Avec ses seins qui défient la gravité et son cul qui ferait bander un mort, elle incarne le fantasme du mec moyen. Mais attention, cette salope adore se faire enculer, surtout en levrette. Son jeu de jambes pourrait faire fondre les plus sérieux d’entre vous.
Les gars, je suis à bout de souffle après avoir mater ce déluge de seins, de culs et de salopes. Queen’s Blade est une bombe à retardement, une série qui mérite d’être dévorée sans modération. Si vous avez un tant soit peu de testostérone dans le sang, foncez sur la version animée d’abord, puis plongez dans le hentai. L’original est trop sage après ce qu’on a vu ici. Et comme des salopes, il y en a plein d’autres à explorer, je vous propose de revenir dans un prochain article pour continuer le massacre. Ciao !