Voilà un des rares, voire le seul, mangas à s’attacher au football américain, ce sport qui n’a pas vraiment de culte au Japon. Pourtant, malgré les critiques, ce titre a su se hisser au panthéon des classiques du genre. Pas vraiment considéré comme un manga "sport", mais plutôt comme un nekketsu pur beurre, il a su charmer les fans grâce à ses personnages féminins, dont les pom-pom girls sont devenues légendaires. Bien qu’un peu vintage, datant des années 2010, il reste gravé dans les mémoires des otakus. Et grâce aux artistes hentai qui ont su en faire un bijou érotique, je vous invite aujourd’hui à découvrir la version hard de Eyeshield 21.
Le résumé ? Un lycéen souffre-douleur, ultra-rapide, repéré par l’équipe de foot de son établissement. Devenu le légendaire Eyeshield 21, il booste l’équipe vers la gloire, rêvant de remporter le mythique tournoi de Noël. Avec 37 tomes et 145 épisodes d’animé, ce manga a marqué les générations. Place désormais à la version hentai, pour mater les nanas qu’on adore… ou qu’on déteste.
Dans ce titre, les héroïnes sont clairement minoritaires. La majorité des scènes s’articule autour du yaoi, mais on va ici se concentrer sur les deux poupées : des salopes bisexuelles, certes, mais dont les fanboys raffolent. Même si elles ne sont pas légion, leurs scènes hardcore compensent largement la faible présence féminine.
Mamori, c’est l’amie du héros, l’archétype de la cheerleader ultra-sexy selon les illustrateurs hentai. Pour ma part, je la trouve plate comme du pâté de foie, même avec ses cheveux roses qui sortent du moule. Jolie, certes, mais sans réel charme. Son corps ? Correct. Sa chatte ? Décente. Mais rien de transcendant. Pourtant, lorsqu’elle s’écarte les cuisses, qu’elle dilate son anus, là, c’est l’apothéose. Cette salope a tourné des scènes de dingue, entre gangbang et bondage, pour les plus exigeants.
Suzuna ? Une nana banale en temps normal. Jusqu’à ce que je tombe sur une image où elle se fait enculer jusqu’aux couilles. D’un coup, elle devient mon péché mignon dans ce manga. Son look ? Plus crédible que Mamori. Des fesses dures comme du béton, une chatte rasée au millimètre, et un physique de sportive. Pourquoi les auteurs ont-ils refusé les rondeurs ? Mystère. Dans le hentai, elle baise toute l’équipe, mais surtout avec Mamori : les deux salopes bisex sont prêtes à tout pour le foot.
Voilà une parodie rare, mais bienvenue, dans un univers où les salopes bisexuelles sont rares. Manger du lourd avec les pom-pom girls de ce manga, c’est une bénédiction pour les fans de foot et de sexe. Et qui sait ? Ce titre pourrait bien faire son retour, histoire de nous rappeler qu’on peut mater du foot et des salopes en même temps.