Code Lyoko hentai, la rediff sur Game One fait des heureux

Code Lyoko a claqué la porte en 2007, mais le feu n’a jamais vraiment décliné. Cette série, qui a marqué une génération, continue de faire des étincelles, surtout quand les réseaux sociaux se mettent à braser. Rappelons-nous : une simple news sur Twitter, fin février dernier, suffisait à faire péter les plombs de la communauté. Le trending topic s’est même accroché toute la journée, déclenchant un tsunami de souvenirs, de critiques et surtout… de fantasmes. Entre les fans de l’âge d’or et les nouveaux-nés, cette série n’a laissé personne indifférent. Et là, on parle pas juste de l’original, non, on parle du Code Lyoko hentai, qui court toujours les rues, déchaîné comme jamais. Parce que oui, les artistes du monde pervers ont pigé que cette série regorge de potentialités lubriques. Alors, prêt à plonger dans l’abîme ?

Si vous avez manqué le train en gare de 2004, permettez-moi de faire un petit topo. On se retrouve en région parisienne, où quatre ados, motivés par leur soif de découverte, débarquent dans une usine abandonnée. Là, ils mettent la main sur un ordi quantique, histoire de. Et paf ! Le programme XANA (oui, c’est un nom qui fait peur) sort de sa gangue, et boum, le monde entier est en danger. Les héros, bien sûr, doivent sauver la planète, mais attention : si les autorités apprennent l’existence de ce logiciel malfaisant, elles débranchent le supercalculateur. Et là, adieu Lyoko. Et adieu Aelita, qui disparaît avec lui. Pour comprendre le délire, c’est Game One qui vous accueille. Mais franchement, pourquoi s’embêter avec l’original quand on peut se taper des scènes X ? Allons droit au but !

Aelita Schaeffer : l’icone du Code Lyoko hentai

Qui ne connaît pas Aelita, notre héroïne aux cheveux roses et au cul bien ferme ? C’est clairement la star du Code Lyoko, et dans le monde du hentai, elle reste la reine du buzz. Petite, les formes délicates, mais un appétit sexuel de dingue. Bien sûr, on ne trouvera pas ici des trucs à faire péter les câbles (sauf que les dessinateurs se sont lâchés), mais les fans en redemandent toujours. Des pipes, des groupes, du bondage, de la yuri… Aelita est partout, et chaque image est une nouvelle occasion de mater ce joli minois. Et vous, on vous l’a dit, les mecs ? C’est pas une pute, c’est une héroïne, mais ça y ressemble quand même.

Yumi Ishiyama : la bombe du Code Lyoko, version salope

Alors, pourquoi Yumi est-elle plus populaire en version hentai qu’Aelita ? Mystère. Peut-être parce qu’elle a des grosses nibards ? Oui, c’est possible. Moins originale dans l’histoire, mais dans le monde des dessins X, ses formes sont un gage de productivité. On peut la baiser de mille et une manières, de la levrette au gode géant, en passant par les trios. Mais soyons honnêtes : Yumi, c’est plus une pute que l’héroïne principale. Trop banale, trop classique… Mais bon, si vous avez un faible pour les salopes aux gros nibards, alors ces images vous feront sûrement bander comme un malade.

Élisabeth Delmas : la salope oubliée du Code Lyoko

Après avoir évoqué les deux stars, place à la petite dernière : Élisabeth Delmas. Oui, c’est bien ça. Les autres nanas secondaires du Code Lyoko ? Elles sont trop fades, trop mal dessinées, ou juste pas assez connues dans le monde du X. Mais Élisabeth, c’est une exception. Peut-être parce qu’elle a un joli minois, une petite chatte bien dessinée, ou juste parce que les dessinateurs ont décidé de lui donner du cul. Peut-être que j’aime la tente, mais j’ai quand même ajouté quelques images pour faire plaisir aux fans de salopes dans le genre. Voilà, c’est tout… sauf que non, c’est pas tout. C’est juste que les autres nanas, elles, c’est pas rentable.

Alors, les gars, Game One vous dévoile le Code Lyoko en replay dès ce mois-ci. Si vous êtes des anciens, ça va vous faire plaisir de revoir les mecs se battre contre XANA. Si vous êtes nouveaux, c’est l’occasion idéale de vous plonger dans l’univers et de comprendre pourquoi les salopes hentai sont si obsédées par cette série. Et si le Code Lyoko original ne vous a pas convaincus de mater les dessins X pour comprendre l’histoire, attendez… Peut-être que les salopes du futur ont des trucs encore plus bandants à vous montrer. Qui sait ? Peut-être que vous changerez d’avis…